La SÉAC est fière d’offrir des stages menant à des crédits en partenariat avec l’Université de Toronto et l’Université Carleton. Grâce à ces stages, les étudiant.e.s dans les domaines de l’architecture et de l’histoire de l’architecture et de l’art participent aux activités de la Société pendant un semestre. Dans cette série, nous présentons des stagiaires récents pour découvrir leur expérience et ce qu’ils ont appris.
 | Bonjour, je suis Anders Modeen et je viens de terminer la troisième année de mon B.A. Diplômée en histoire et théorie de l’architecture à l’Université Carleton. Mon objectif est de devenir un architecte agréé qui crée un monde qui n’est pas seulement pour les gens mais qui les inspire aussi. Je crois que la meilleure façon d’atteindre cet objectif est d’étudier l’environnement bâti de toutes les manières possibles et de s’amuser en le faisant. De plus, pour moi, Anders l’architecte sonne toujours bien. |
Comment êtes-vous devenue membre de la SÉAC ?
Je me suis impliqué dans la SÉAC grâce aux cours offerts par Peter Coffman, un membre bien connu et ancien président de la Société. Je lui ai demandé de faire un stage dans le cadre du programme, et il m’a répondu qu’il avait une proposition de stage pour moi. Dans l’un de ses cours, j’ai réalisé un projet de balado sur les différentes réactions de mes chiens à l’environnement bâti, et cela m’a donné les compétences techniques que la SÉAC recherchait à l’époque. C’est vraiment grâce à lui que j’ai pu vivre cette merveilleuse expérience.
Quel a été le moment fort de votre stage ?
Il y a eu de nombreux moments forts, mais celui qui m’a le plus marqué pendant que je travaillais avec la SÉAC était les liens solides de la communauté. Le point culminant qui a démontré ces liens a été lorsquej’ai ou le constater lors d’une rencontre social organisé au Brigid’s Well Pub, un magnifique pub / église avec une histoire riche que j’aimais, compte tenu de mon ascendance irlandaise. À cet événement, j’ai pu rencontrer des gens en personne, entendre des discours précieux et être présent à ce moment avec tous. Cette expérience en est une que j’espère revivre.
Qu’est-ce qui vous passionne le plus dans l’étude de l’architecture au Canada ?
Mon intérêt pour l’architecture a toujours été un « joker », car des endroits particuliers piquent ma curiosité, comme les petits bars du coin et les dépendances. Pour exprimer mon intérêt en mots, je dis que c’est dans des endroits qui sont relativement méconnus mais qui sont précieux pour les gens et les communautés à leur manière. Chaque espace a une histoire à raconter, et nous pouvons tirer des leçons de la façon dont les gens interagissent avec ces espaces dans différentes histoires. Par exemple, je viens de terminer un projet sur le Black Squirrel, un café-librairie sur la rue Bank dans le Vieux-Ottawa-Sud. L’histoire de cet espace se reflète dans le développement de la communauté lié au développement d’Ottawa en tant que ville.
Qu’aimez-vous faire en dehors de l’école ou du travail ?
À vrai dire, je suis un énorme nerd. Quand je dis nerd, je veux dire tout ce qui est ringard, des bandes dessinées à la collection de Legos. Je joue à des jeux de société et à des jeux de cartes avec mes amis et je fabrique même des figurines de 15 mm de haut en argile que nous utiliserons dans Dongeons & Dragons. Mon autre passion majeure, je dirais, est la lecture malgré ma dyslexie. Je lis beaucoup et plus j’avance dans mes études, plus je lis sur l’architecture. J’aime m’amuser et apprendre à la fois dans et en dehors de mon travail et d’école.
Qu’est-ce qui vous attend pour la suite ?
Je me prépare pour les années à venir. Ce seront mes dernières années au premier cycle, si les choses se passent comme prévu, et je dois me préparer aux défis à venir, comme postuler pour ma maîtrise. La route que j’ai choisie est difficile, je ferai donc tous les efforts possibles pour atteindre mon objectif. Cet été, je participerai au programme STUDIO FIRST à Carleton, ce qui devrait m’aider à atteindre cet objectif grâce à un horaire intensif. Maintenant, je suis encore plus excité et déterminé à relever ces défis que lors de ma première année à Carleton.
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